Serena Montez [ U.C ]

• Mon Histoire (Minimum 15 Lignes) : Vous voulez connaître son histoire maintenant ? Ba vous êtes pas chiant dis donc…Bon si vous y tenez encore. Son histoire commence un soir de décembre. Mais elle n’est pas née en mars direz vous ?! Si mais notre histoire ne commence pas à nos premiers cri mais au début de l’histoire de nos géniteurs. Bon je peux reprendre ?! Bien. Donc je disais, tout commence un soir de décembre. Un grand show organisé pas un très grand couturier commence. Bien entendu toute les personnes appartenant au monde mondain et a la jet set sont convié à la soirée de l’année pour le domaine de la mode. Du japon, en passant par l’Europe ou encore d’autre pays, tout le monde afflux. Les limousines, les belles voitures arrivent devant le tapis rouge prévu pour accueillir toutes ses personnes. Le show ne va pas tardé a commencé et dans les coulisses c’est l’effervescences, tout le monde est sur le qui-vive. D’autant plus que la star de la soirée, le top model du moment n’est pas là. Mais où est-elle ? Plus loin de toute l’agitation du samedi soir, assez loin de la ville, sur une route de forêt déserte, revenant de la campagne, se trouve une voiture, en rade sur la route. Et a côté de cette voiture, se trouve une jeune femme, emmitouflée dans son manteau, qui désespère. Le conducteur est penché devant le capot, essayant de réparer cette pauvre voiture, mais cela parait évidant qu’il n’y connaît rien. Et la jeune femme perd alors tout espoir, lorsque ce dernier referme le capot en lançant un « Désolé, mais je ne peut rien faire ». Elle fait alors une petite moue en inclinant la tête.

- C’est pas juste, s’exclame-t-elle.

Elle s’accoude alors à la voiture, tout en croisant les bras et pousse alors un grand soupir, qui provoque de la condensation autour d’elle. Ça devait être le plus grand soir de sa vie, et c’est pourquoi elle avait décidé d’aller rendre une visite à sa famille avant celui-ci, histoire de se ressourcer un peu. Eh oui, le top model en vogue, le top model que tout le monde s’arrache en ce moment vient de la campagne, dans une famille très modeste. Vous y croyez a celle la vous ? Nan ? Et pourtant. C’est d’ailleurs ce qui a touché pas mal de personne. La petite campagnarde pas très riche qui débarque en ville pour faire carrière dans la mode. Ça aurait pu être ironique et drôle, si Serena n’avait pas eut tant de talent pour ce domaine et le physique idéal pour. Elle grimpa vite tout les échelons et finit par en arriver où elle était aujourd’hui. Oui enfin, disons plutôt hier. Car aujourd’hui risque bien d’être la fin de sa carrière. Dans un excès de désespoir, Serena se retourne et choute violemment dans la roue. Mais le problème c’est que la roue n’est pas humaine, elle ne sent rien, mais Serena si. Elle se met alors a sauté a pieds joint en criant « Aie, aie, aie, salopri de merde ». Le conducteur tourne alors la tête vers elle, la regardant d’une manière assez bizarre. Elle relève vivement les épaules tout en lançant :

- Ba quoi !

Il arque un sourcil avant de sourire légèrement. Mais Serena ne fait guère attention, elle vient d’entendre le bruit d’une voiture. Une voiture. Cela fait à présent 1h qu’ils étaient en rade et sans réseau et jusque la, aucune voiture n’avait fait son apparition. Ni une ni deux, Serena se met en plein milieu de la route en agitant les bras et sautant sur place, obligeant la voiture a freiné d’un coup. Folle ? Sans aucun doute. Voyant la voiture se dirigé droit sur elle, elle place les main devant ses yeux, les fermant, recourbant ses épaules et son dos comme signe d’autoprotection. Elle entend les pneu produirent un grand bruit de crissement puis plus rien. Elle attend quelque seconde puis ouvre un œil et dégage sa main pour voir. La voiture est arrêtée à quelque centimètre d’elle. Elle se remet alors droite et affiche un sourire vainqueur. Le conducteur de la voiture, encore perturbé ne fais rien, mais le passagers de derrière sors alors, dans une colère assez présente.

- Nan mais vous êtes complètement folle ou quoi ? Nan mais vous vouliez mourir c’est ça ? Mais vous êtes pas bien sérieux, vous devriez penser à un séjour chez les fou ça vous ferrait du bien. Nan mais on a pas idée de débarqué en plein milieu de la route comme ça. Nan mais vous vous rendez quand même compte que vous avez failli mourir ?!

A vrai dire, non, elle ne s’en rend pas compte. A vrai dire, elle n’a en fait pas écouté un mot de ce que lui a dit le jeune homme. Elle a les yeux rivés sur la voiture. Ou devrais-je dire la limousine. Et oui c’est belle est bien une limousine qui a faillit l’écrasé. Un sourire encore plus vainqueur se dessine sur son visage. Une limousine, se soir la. C’est sur, il va au show. Finalement, tout n’est pas perdu. Le jeune homme qu’en a lui, ne comprenant rien à la situation, arque un sourcil et regarde Serena comme une vrai folle. Elle allait même renchérir lorsqu’elle le coupe en le poussant afin qu’il marche a reculons, tout en lui indiquant.

- Vous êtes trop aimable de nous joindre a vous vraiment.

Le jeune homme, surpris, se met alors a balbutié se laissant faire au début sans rien comprendre. Mais il arrive tout de même a retrouvé ses esprits pour s’arrêté, juste avant qu’elle ne le pousse dans la voiture.

- Quoi ?
- Oui, on vient avec vous.

Sans même attendre de réponde, elle le pousse à l’intérieur de sa voiture et fait signe a son chauffeur de venir. Il monte alors devant, en compagnie du chauffeur de monsieur et elle pénètre à l’arrière, avec le jeune homme, très charmant d’ailleurs. Une fois à l’intérieur, et se rendant compte que la voiture ne démarre pas, dit à l’adresse du chauffeur.

- Tout est ok, vous pouvez y allez. Direction la soirée la plus branchée de se soir.

Le conducteur ne cherche pas vraiment, et suit les instructions de Serena qui lui lance un sourire radieux. Le jeune homme, toujours surpris et perturbé, ne réagis pas. Voyant cela, Serena se tourne vers lui et lui tend sa main.

- C’est vrai, j’ai carrément oublié les présentations. Je m’appelle Serena et ça fait bien 1h qu’on est sur cette route dans le froid à attendre qu’une voiture passe par cette pauvre petite route déserte alors tu comprend bien que quand j’ai vu la tienne, qui au passage est canon si je peux me permettre, j’était monté dans pas mal de limousine, mais alors celle la. Top de chez top hein.

Voyant l’attitude de Serena, l’expression du jeune homme change alors en, « qu’est ce qui ce passe ? » à « Surprenante celle la ».

- Oui donc bref, reprend Serena, quand j’ai vu ta voiture, ah oui j’me permet de te tutoyé, en plus si rajeuni, enfin non pas que t’es vieux, mais vous ça fait vieux je trouve, enfin c’est un avis personnel. Donc pour en finir, quand j’ai vu ta voiture j’ai sauté et j’ai foncé, je suis désolé.

Le jeune homme fronce le sourcil avec un sourire amusé sur le visage.

- J’ai vu ça oui. Je m’appel Antonio, mais tu peux m’appelais Tony, répondit-il en lui tendant la main.

Ils finirent donc par parlé et faire connaissance dans la voiture. Elle en profita pour lui expliquer la raison de sa nervosité et l’enjeu de cette soirée. Et c’est se soir la, que l’amour qui a conçu notre petite Serena que l’on connaît est né. Et c’est lorsque Antonio a vu Serena défilé sur le podium, avec grâce et élégance, et surtout radieuse, qu’il se rendit compte d’une chose : c’était elle. Il en était sur. Il ressentait cette certitude au plus profond de lui. S’en était de même pour Serena. Lorsqu’ils avaient discutaient dans la voiture, elle avait était prise d’un mélange de sentiments et d’une sensation étrange. Mais très agréable. Cette soirée lui avait été bénéfique, et au plus haut point. Après cette soirée, ils ne se sont plus jamais quittés. Et quand 3 ans plus tard, Serena lui annonça la venue future d’un enfant, Antonio devint le plus heureux des hommes. Ils avaient passé des mois et des mois a préparé l’arrivée de leur bébé chéri. Ils étaient heureux comme jamais. Et le jour arriva. Mais un peu plus tôt que prévu. Serena était censé n’accouché que dans plusieurs semaines, mais malheureusement, la grossesse ne se passé pas comme prévu, et l’accouchement non plus ne se passerait pas comme prévu. D’autant plus qu’ils se trouvaient sur un paquebot. Ils étaient partis quelque jour dans la famille d’Antonio, et rentrait chez eux pour préparé l’accouchement. Mais ils n’en eurent pas le temps. L’accouchement se déroula sur le paquebot. Les choses avaient était très compliquées, l’accouchement ne s’était pas très bien passé. Des ambulanciers qui avait été prévenu, était la à l’arrivé du paquebot et prirent en charge la maman et le bébé. Mais le jour qui devait être le plus beau de toute leur vie, devinrent un jour, je ne dirais pas un cauchemar, car une magnifique petite fille fit son apparition sur cette terre, mais malheureusement, une extraordinaire jeune femme en disparu, au plus grand déchirement d’un jeune homme, qui ne savait pas comment réagir. Sa magnifique petite fille venait de naître, mais la femme de sa vie venait de mourir. Comment réagir ? Que faire ? Comment prendre cette journée ? Pendant plusieurs semaines ce fut terrible pour Antonio. Il avait perdu l’amour de sa vie. La femme de sa vie. Il ne pouvait pas s’occupé de sa petite fille. Il ne pouvait même pas la regardé. Cela lui rappelé trop sa souffrance. Mais un soir, alors que la nounou était partie chercher des couches car il en manquait, quelque chose se produisit. La petite se mit a pleuré pleuré et pleuré. Elle ne se calmé pas. Antonio qui était devant la télé, se leva pour allez voir sa fille. Il voulu lui mettre sa tétine, mais elle la recracha immédiatement. Les pleurs avaient cessé, mais elle gigotait dans tous les sens. Ce n’était pas normal. Et très vite elle devint bleue. Prit de panique, Antonio pris sa fille dans ses bras et l’embarqua dans la voiture. Il roulait à toute vitesse, la panique se ressentant au bout de son ventre. Il passa une bonne partie de la nuit dans une salle d’attente froide et stressant, attendant de savoir si sa petite fille était toujours en vie. Il eut alors le temps de réfléchir. A ce qui s’était passé, à son attitude par rapport à sa fille, à ce que sa femme aurait voulu. Il avait honte. Honte de lui. Honte de ce qu’il était devenu. Honte de ce qu’il faisait à sa fille. Et se soir la, il se fit la promesse que si sa fille était toujours vivante, il serait le meilleur des pères pour elle. Et c’est ce qu’elle fit. Elle vécut. Et Antonio commença sa promesse. Et tout commença par son prénom. Il lui fallait un prénom à cette petite. Et dans un murmure, il lui chuchota à l’oreille.

- Bienvenue parmis moi Serena.



(( Désolé du double post, mais c'était trop long pour passer en un seul xD Désolé aussi pour ma fiche un peu pas top mais c'est le soir xD ))